Le programme pour l’année 2020-2025 est le continuum de l’ancien Programme impliquant des modifications, principalement sur la technologie en relation avec la nature.

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Comment la diversité humaine va-t-elle donc pouvoir cohabiter pour ces 5 prochaines années ?

Les religions ont été un tremplin exceptionnel pour garantir la stabilité du droit des citoyens à vivre ensemble.

Mais il a été le pire des supplices dans l’exercice dominant de son interprétation.

Toutes les religions n’ont pas la même orientation au final.

L’utilisation d’outils de croyance a permis de réaliser la construction de la peur, l’histoire du passé a formaté une contagion de l’esprit, son efficacité fait force de preuve encore aujourd’hui de son impact sur la population.

Des pays s’accrochent culturellement à une idéologie dominante de préférence axée sur le conservatisme. La peur, du changement, cette ombre opaque dominante qui forme un contrepli des peuples causée par l’ignorance des nouveaux esprits, fait renaître l’extrémisme. La liberté de l’individu se situe au seuil d’une trajectoire commune à rassembler les peuples sur une égalité au droit et de liberté pour tous hommes, femme, enfants.

L’humain est devenu ce qu’il est, à fortiori, conscient de sa dépendance par l’étude de  la nature et son environnement avec lequel il utilise aujourd’hui les moyens biologiques et chimiques pour accorder un monde artificiel, cette compensation est d’origine économique.

Il n’est pas conscient véritablement des dégradations écologiques, aujourd’hui, l’être humain a des difficultés à se projeter sur un consensus global de la préservation de l’écosystème. De nombreux sites, parcs sont protégés par une réglementation de principe de droit, mais la pollution des organismes n’a pas de frontière et les pollutions parcourent les cours d’eau, nagent dans l’air et finissent dans la terre qui est origine de tout équilibre naturel.

 

Le choc des civilisations est bien en cours, chaque continent impose sa stratégie dominante démontrant son système de pensée plus élaboré que celui de ces voisins. Tandis que d’autres utilisent des armes de plus en plus sophistiquées de défense pour conter l’émergence suprématiste dominante. La politique de défense, la politique commerciale, la politique économique etc.

La guerre s’instrumentalise par la chimie, la fabrication de nouvelles mutations d’espèces créant une instabilité de l’écosystème. Déstabilisant l’agriculture, l’eau se retrouve imprégnée par diverses substances qui contaminent les terres agricoles. Des airs à la terre tout le processus se retrouve instable et anarchisés.

Le climat se retrouve lui aussi influencé par des technologies évoluées tendant à contrôler l’émergence des pays.

L’humain n’est pas la nature, il est, ennemi de la nature, car sa dépendance et sa survie tout entière en dépend. L’humaine souhaite-t-il créer son propre monde artificiel pour ne plus dépendre de la nature ?

Le monde invisible de la nature est relié par toutes formes d’interconnexions des 5 éléments. A lui seul, contient, un gigantesque et formidable outil de technologie auquel l’homme tentera d’imiter, sans jamais le surpasser.

L’humain fabrique ainsi son propre monde artificiel

Que se passe-t-il lorsque l’humain devient trop vorace dans sa conquête contre nature ?

La nature est organisée, 30% de terre, 70% d’océan, par ce constat, elle a déjà anticipé la venue de la conquête humaine.

Les 30% de terre est l’habitat humain, une partie est  frontière, de déserts arides ou les températures sont extrêmes, de l’autre face les glaciers et icebergs où le froid est encore plus extrême. Ces parties extrêmes existantes ne sont pas hasardeuses !

 

Consommer là où vous êtes !

 

Les effets de la  dématérialisation des modes de production peuvent, peut-être, devenir une garantie de sauvegarde à la préexistence humaine.

L’humain dans son développement incessant de destruction massive impactant la biodiversité n’aura plus la capacité de se nourrir de manière équilibrée. Les grandes entreprises de vente de produits alimentaires sous l’appellation ‘de super grands marchés » ont augmenté l’abondance de consommation. Des produits provenant de pays où le climat est différent ne peuvent apporter les nutriments nécessaires, raison pour laquelle manger local est essentiel à l’équilibre de son organisme.

Une fois le produit vendu, les consommateurs changent leur mode de consommation alimentaire, et les demandes augmentent.

Non seulement une défiguration des paysages des pays en faibles ressources se retrouve amoindrie, mais qui plus est, la qualité du produit est affaiblie par le transport et les produits de conservation.

Le nombre de maladie augmente par ricochet des troubles environnementaux,  et des problèmes collatéraux renforcent l’instabilité de l’existence humaine. Les problèmes se lient par  différents facteurs et non de façon isolée.

 

 

Les modes d’emplois et de production en mutation !

Tout se transforme encore et toujours, le changement n’est pas nouveau en soi, en revanche la différence est la vitesse de production, car tout va de plus en plus vite dans tous les domaines.

Le travail a déjà commencé son ascension vers la dématérialisation, un magasin de vêtements dans une rue est plus coûteux qu’un site en ligne proposant la même gamme de vente de vêtements, plus rapide à l’accessibilité et à la commande qu’un magasin. La différence du choix  réside dans d’immédiateté de la possession du produit et la suppression du contact humain. Les nouvelles générations sont éduquées aux nouvelles normes d’achat, les anciennes continuent pour beaucoup sur leurs anciens-modèles de consommation.

Mais pour combien de temps ? Et comment les institutions politiques peuvent-elles composer sur les nouvelles normes de dématérialisation technologique en cours de transition ?

Le protectionnisme ne se situe pas dans le conservatisme, il est juxtaposé dans les différences historiques qui prennent leurs chemins dans la diversité à la formation créative et forme l’évolution humaine.

Exemple : Libérer le droit humain de ses différences hommes et femmes, en accordant un droit universel équivalent.

Protéger les animaux de leurs extinctions, supprimer l’exploitation des animaux au domaine du spectacle.

Augmenter les processus d’élevage locaux et agricoles accordant une éthique du traitement de la vie animale et de sa mort.

La dépendance du pétrole alimente le crédit de certains pays en contradiction avec les droits humains. L’indépendance de sa propre énergie favorisera l’émergence d’un état d’esprit en relation avec son état d’être.

La politique s’approchant des conditions humaines ne peut pas paraître identique avec toutes formes de gouvernances dont la nature humaine fonctionne avec un droit différencié.

L’humain est programmé à la libération, c’est la raison des inventions superposées au miroir humain qui freine cette ascension de liberté spirituelle. Pour fabriquer un nouvel esclave moderne, tout environnement naturel doit disparaître.

Les catastrophes naturelles vont s’amplifier à très grandes échelles, c’est la raison pour laquelle l’indépendance énergétique est primordiale, se préparer est anticipée et se protéger.

En 2020, le climat risque de laisser derrière lui des millions et des millions de victimes, peut-être serait- ce vous ?

« La nature est la vie, car l’humain sans la nature est sans vie. »

 

 

The program for the year 2020-2025 is the continuum of the old Program involving modifications, mainly on technology related to nature.
How will human diversity coexist for the next 5 years?
Religions have been an exceptional stepping stone to guarantee the stability of citizens’ right to live together.
But he was the worst of the tortures in the dominant exercise of his interpretation.
All religions do not have the same orientation in the end.
The use of belief tools has enabled the construction of fear, the history of the past has shaped a contagion of the mind, its effectiveness is still evidence today of its impact on the population.
Countries are culturally clinging to a dominant ideology of conservatism. The fear, the change, this dominant opaque shadow that forms a counterpoise of peoples caused by the ignorance of new minds, is reviving extremism. The freedom of the individual is at the threshold of a common trajectory to bring people together on an equality of rights and freedom for all men, women and children.
The human has become what it is, let alone aware of its dependence on the study of nature and its environment with which it uses today the biological and chemical means to grant an artificial world, this compensation is economic origin.
He is not really aware of the ecological degradation, today, the human being has difficulties to project on a global consensus of the preservation of the ecosystem. Many sites and parks are protected by a rule of law, but the pollution of organisms has no borders and pollutions run through rivers, swim in the air and end up in the land that is the source of any natural balance.

The clash of civilizations is well underway, each continent imposes its dominant strategy demonstrating its system of thought more elaborate than that of these neighbors. While others use more and more sophisticated defense weapons to tell the dominant supremacist emergence. Defense policy, trade policy, economic policy etc.
War is becoming more and more important through chemistry, the production of new mutations of species creating an instability of the ecosystem. Destabilizing agriculture, water is impregnated with various substances that contaminate agricultural land. From tunes to earth the whole process is unstable and anarchised.
The climate is also influenced by advanced technologies tending to control the emergence of countries.
The human is not nature, he is, enemy of nature, because its dependence and its entire survival depends on it. Does the human wish to create his own artificial world to no longer depend on nature?
The invisible world of nature is connected by all forms of interconnections of the 5 elements. On its own, contains, a gigantic and formidable tool of technology to which man will try to imitate, without ever surpassing it.
The human thus makes his own artificial world
What happens when the human becomes too voracious in his conquest against nature?
Nature is organized, 30% of land, 70% of ocean, for this reason, it has already anticipated the coming of human conquest.
The 30% of land is human habitat, some is frontier, arid deserts or temperatures are extreme, on the other side glaciers and icebergs where the cold is even more extreme. These existing extreme parts are not risky!

Consume where you are!

The effects of the dematerialization of modes of production may, perhaps, become a guarantee of safeguarding human pre-existence.
Humans in their incessant development of massive destruction impacting biodiversity will no longer have the capacity to feed themselves in a balanced way. Large food companies under the name of ‘Super Big Markets’ have increased consumption abundance. Products from countries where the climate is different can not provide the necessary nutrients, which is why local eating is essential to the balance of the body.
Once the product is sold, consumers change their mode of food consumption, and demands increase.
Not only is disfigurement of the landscapes of low-resource countries lessened, but what is more, the quality of the product is weakened by transport and conservation products.
The number of diseases increases indirectly environmental disorders, and collateral problems reinforce the instability of human existence. Problems are linked by different factors and not in isolation.
Changing modes of employment and production!
Everything is changing again and again, the change is not new

 

 

El programa para el año 2020-2025 es el continuo del antiguo Programa que involucra modificaciones, principalmente en tecnología relacionada con la naturaleza.
¿Cómo coexistirá la diversidad humana durante los próximos 5 años?
Las religiones han sido un peldaño excepcional para garantizar la estabilidad del derecho de los ciudadanos a vivir juntos.
Pero fue la peor de las torturas en el ejercicio dominante de su interpretación.
Todas las religiones no tienen la misma orientación al final.
El uso de herramientas de creencias ha permitido la construcción del miedo, la historia del pasado ha dado forma a un contagio de la mente, su efectividad todavía es evidencia hoy de su impacto en la población.
Los países se aferran culturalmente a una ideología dominante del conservadurismo. El miedo, el cambio, esta sombra opaca dominante que forma un contrapeso de los pueblos causado por la ignorancia de las nuevas mentes, está reviviendo el extremismo. La libertad del individuo está en el umbral de una trayectoria común para unir a las personas en la igualdad de derechos y libertad para todos los hombres, mujeres y niños.
El humano se ha convertido en lo que es, y mucho menos consciente de su dependencia del estudio de la naturaleza y su entorno con el que utiliza hoy los medios biológicos y químicos para otorgar un mundo artificial, esta compensación es origen económico
Él no es realmente consciente de la degradación ecológica, hoy, el ser humano tiene dificultades para proyectar en un consenso global de la preservación del ecosistema. Muchos sitios y parques están protegidos por un estado de derecho, pero la contaminación de los organismos no tiene fronteras y las contaminaciones atraviesan ríos, nadan en el aire y terminan en la tierra que es fuente de cualquier equilibrio natural

El choque de civilizaciones está en marcha, cada continente impone su estrategia dominante demostrando su sistema de pensamiento más elaborado que el de estos vecinos. Mientras que otros usan armas de defensa cada vez más sofisticadas para contar el surgimiento supremacista dominante. Política de defensa, política comercial, política económica, etc.
La guerra se está volviendo cada vez más importante a través de la química, la producción de nuevas mutaciones de especies creando una inestabilidad del ecosistema. Desestabilizando la agricultura, el agua está impregnada de diversas sustancias que contaminan las tierras agrícolas. Desde canciones hasta la tierra, todo el proceso es inestable y anarquizado.
El clima también está influenciado por tecnologías avanzadas que tienden a controlar la aparición de países.
El humano no es la naturaleza, él es enemigo de la naturaleza, porque su dependencia y su supervivencia completa dependen de ello. ¿El humano desea crear su propio mundo artificial para no depender más de la naturaleza?
El mundo invisible de la naturaleza está conectado por todas las formas de interconexión de los 5 elementos. Por sí solo, contiene una herramienta tecnológica gigantesca y formidable a la que el hombre intentará imitar, sin superarla nunca.
El humano crea así su propio mundo artificial.
¿Qué sucede cuando el humano se vuelve demasiado voraz en su conquista contra la naturaleza?
La naturaleza está organizada, el 30% de la tierra, el 70% del océano, por esta razón, ya ha anticipado la llegada de la conquista humana.
El 30% de la tierra es hábitat humano, algunos son fronterizos, los desiertos áridos o las temperaturas son extremas, en el otro lado los glaciares y los icebergs donde el frío es aún más extremo. ¡Estas partes extremas existentes no son riesgosas!

¡Consume donde estás!

Los efectos de la desmaterialización de los modos de producción pueden, tal vez, convertirse en una garantía de salvaguardar la preexistencia humana.
Los humanos en su incesante desarrollo de destrucción masiva que impacta la biodiversidad ya no tendrán la capacidad de alimentarse de manera equilibrada. Las grandes compañías de alimentos bajo el nombre de ‘Super Big Markets’ han aumentado la abundancia de consumo. Los productos de países donde el clima es diferente no pueden proporcionar los nutrientes necesarios, por lo que la alimentación local es esencial para el equilibrio del cuerpo.
Una vez que se vende el producto, los consumidores cambian su modo de consumo de alimentos y aumentan las demandas.
No solo se reduce la desfiguración de los paisajes de los países de bajos recursos, sino que además, la calidad del producto se ve debilitada por los productos de transporte y conservación.
El número de enfermedades aumenta indirectamente los trastornos ambientales, y los problemas colaterales refuerzan la inestabilidad de la existencia humana. Los problemas están vinculados por diferentes factores y no de forma aislada.
¡Cambio de modos de empleo y producción!
Todo está cambiando una y otra vez, el cambio no es nuevo.